Pendant la seconde guerre mondiale, le studio de photo célèbre pour ses portraits de stars était aussi prisé des collaborateurs français et des soldats allemands. Ce pan méconnu de son histoire est mis au jour dans un ouvrage.
Tirés d’un fonds texan, 60 000 clichés témoignent de la vie des Noirs américains dans la seconde moitié du XXᵉ siècle. Fêtes familiales, bals adolescents, concours de beauté… Le centre photographique de Kingston, dans l’Etat de New York, consacre une large exposition à ces images joyeuses, prises en pleine époque de lutte pour les droits civiques.
Il y a un an, un groupe de rebelles syriens annonçait la prise de Damas, mettant fin au règne de Bachar Al-Assad. Pour « Le Monde », la photographe Laurence Geai s’est depuis rendue à trois reprises dans le pays. Elle nous raconte son travail.
« Autre foi » (10/11). Pourquoi se choisit-on une religion ? Onze témoins racontent leur cheminement spirituel. L’artiste et chanteuse suisse a trouvé dans cette foi la réponse aux questions existentielles qu’elle se posait depuis l’enfance, et vénère Shiva Nataraja, divinité qui incarne le cycle éternel de la création.
Pour lutter contre le manque de logements et l’isolement des personnes âgées dans leur région, les sœurs du monastère orthodoxe de Solan ont lancé l’idée du « Hameau des rosiers », un ensemble locatif destiné à accueillir toutes les générations.
La Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie n’est pas parvenue à réduire les inégalités très fortes dans l’accès aux droits pour les personnes âgées et handicapées selon le département où elles vivent.
Le corps sans vie d’une femme belge de 34 ans avait été retrouvé, jeudi, couvert de plusieurs hématomes et avec des dents cassées, au domicile de son compagnon, un Algérien 36 ans. Il a été mis en examen pour meurtre par conjoint. Un de ses amis a également été mis en examen pour non-assistance à personne en danger.
La France découvre peu à peu la Britannique, morte en 2001. Une philosophe majeure, à la fois conservatrice, par sa défense acharnée de la morale judéo-chrétienne, et d’une liberté incomparable dans sa vie et sa pensée.
Pour redonner voix à Léonce, brancardier belge tué pendant la Grande Guerre, Violaine Lison a cheminé douze ans avec ce « vrai écrivain », fauché à 25 ans.